- Culture,
Les visites guidées "Graffiti et droit" sont de retour !
du 4 mars 2020 au 11 mars 2020
Les deux visites guidées auront lieu
- Le mercredi 4 mars de 16h30 à 17h30
- Le mercredi 11 mars de 16h30 à 17h30
Rue Gramat [Voir plan]
Les associations étudiantes Contrast et M2 PI s'associent à nouveau pour réitérer les visites "Graffiti et Droit" ! Venez arpenter la rue Gramat, située à deux pas de l'université dans le quartier Arnaud Bernard et réputée pour ses nombreux graffitis ou autres fresques, en compagnie d'historiens de l'art et juristes !
Les étudiants d'Histoire de l'Art de l'UT2J et de Droit de la Propriété Intellectuelle de l'UT1 se réunissent à nouveau pour vous proposer des visites de la rue la plus colorée du quartier de l'université.
Qu'on l'appelle « art urbain », « graffiti » ou « street-art », les créations murales ne passent pas inaperçues aux yeux des passants. Du simple sticker collé sur un trottoir à la fresque perchée au sommet d'un immeuble, les artistes, s'affranchissant parfois de la légalité, décorent les villes de Sao Paolo à Melbourne en passant par Berlin.
Les murs deviennent une toile qui font des rues un musée, un espace de revendications sociales, une feuille blanche où l'on peut laisser une empreinte. Victor Hugo décrivait d'ailleurs la rue comme « le cordon ombilical entre le citoyen et la société ». Longtemps dénoncés comme étant des gribouillages dégradants les biens, publics ou privés, certaines œuvres se trouvent aujourd'hui vendues aux enchères pour un prix dépassant le million d'euro.
Mais qu'en est-il du droit, lorsque la rue devient un espace de liberté d'expression ? Interdites, ensuite tolérées, les œuvres de rue font aujourd'hui l'objet de contrats avec les pouvoirs publics, notamment les mairies ou les conseils régionaux. A Toulouse, la rue Gramat raconte l'histoire d'un bouleversement social et juridique face à ces créations originales. Viens découvrir, le temps d'une heure, les trésors d'une ruelle aux secrets bien cachés...
Qu'on l'appelle « art urbain », « graffiti » ou « street-art », les créations murales ne passent pas inaperçues aux yeux des passants. Du simple sticker collé sur un trottoir à la fresque perchée au sommet d'un immeuble, les artistes, s'affranchissant parfois de la légalité, décorent les villes de Sao Paolo à Melbourne en passant par Berlin.
Les murs deviennent une toile qui font des rues un musée, un espace de revendications sociales, une feuille blanche où l'on peut laisser une empreinte. Victor Hugo décrivait d'ailleurs la rue comme « le cordon ombilical entre le citoyen et la société ». Longtemps dénoncés comme étant des gribouillages dégradants les biens, publics ou privés, certaines œuvres se trouvent aujourd'hui vendues aux enchères pour un prix dépassant le million d'euro.
Mais qu'en est-il du droit, lorsque la rue devient un espace de liberté d'expression ? Interdites, ensuite tolérées, les œuvres de rue font aujourd'hui l'objet de contrats avec les pouvoirs publics, notamment les mairies ou les conseils régionaux. A Toulouse, la rue Gramat raconte l'histoire d'un bouleversement social et juridique face à ces créations originales. Viens découvrir, le temps d'une heure, les trésors d'une ruelle aux secrets bien cachés...
INSCRIPTION CONSEILLÉE
Partenaires :
Mis à jour le 24 février 2020