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"Ordre & Droit" - Ouvrage de l' Association des Doctorants de l'Institut de Droit Privé et des Doctorants et Docteurs du Centre de Droit des Affaires

le 10 juillet 2025

Ouvrage disponible
Site de la Manufacture, bureau MI 104, 21 allée de Brienne, 31000 Toulouse

Après les thèmes de L’impact des nouvelles technologies sur le Droit et ses acteurs, Sport et Droit des Affaires, Art et Droit, Guerre économique et Droit, Luxe et Droit, Stratégies et Droit et Durabilité et Droit, cette nouvelle journée d’étude était dédiée au thème : « Ordre et Droit ».

L’Association des Doctorants de l’Institut de Droit Privé (ADIDP) et l’Association des Doctorants et Docteurs du Centre de Droit des Affaires (ADDCDA) ont cette année décidé de collaborer pour rassembler la jeune recherche autour de la thématique « Ordre & Droit ».

Du latin ordo, qui signifie mettre en rang, l’ordre entretient des relations intriquées avec le Droit, puisque celui-ci aurait pour finalité de faire régner l’ordre.
Ainsi le Droit tend à mettre en ordre, à maintenir un ensemble organisé autour de valeurs et au moyen de contraintes. Cette mise en ordre n’est toutefois pas sans limites ; dans son effort d’ordonnancement le Droit se confronte à des impératifs de compromis et la cohérence de cet effort de maintien de l’ordre est mise à mal.

Le raisonnement a contrario est également possible : comment réagit le Droit face au(x) désordre(s) ? Le désordre ‒ et donc la remise en ordre ‒ de ses sujets, d’une part, à propos duquel le droit pénal peut offrir de précieuses réponses. Le désordre de son propre système, d’autre part, qui conduira à une introspection appliquée à plusieurs champs disciplinaires illustrant comment le Droit est amené à remettre en ordre ses propres moyens d’ordonnancement.


Sommaire

Première partie : La mise en ordre par le droit

A) Le droit en tant qu’outil de maintien de l’ordre

L’ordre vestimentaire : tentative de contrôle du visible
Éric GOUEFFON, doctorant en Histoire du droit à l’Université de Strasbourg

Le droit de l’urbanisme comme reflet d’un ordre matériel et politique
Louise MAUROUARD, doctorante contractuelle à l’Université d’Aix-Marseille

B) Les limites du droit en tant qu’outil de maintien de l’ordre

Troubles à l’ordre public, nouvelles techniques de captation d’images et respect des droits fondamentaux : un défi pour le Droit
Maria SLIMANI, ATER à l’Université d’Aix-Marseille

La classification des contrats en droit civil : maintenir l’ordre ou laisser place au désordre
Chanelle MOREAU, doctorante contractuelle à l’Université Toulouse Capitole

Seconde partie : La remise en ordre par le droit

A) Le droit face au désordre de ses sujets

La restauration de l’ordre par la justice restaurative
Sarah GALVANI, doctorante à l’Université Toulouse Capitole

Du besoin d’ordre dans le droit au besoin de droit pour rétablir l’ordre : l’alarmante impunité de la traite d’êtres humains à des fins de mariage forcé en droit pénal français
Émilie HOAREAU, ATER à l’Université de Strasbourg

B) Le droit face au désordre de son système

Propriétés intellectuelles : désordre systémique, ordre utopique ? Éléments de réponses à partir d’une approche transversale
Rebecca ARMAND-TOUREUH, doctorante à l’Université d’Aix-Marseille

Le droit fiscal international post-moderne : le désordre des ordres
Yannis VASSILIADIS, doctorant contractuel à l’Université Toulouse Capitole

Propos conclusifs
Mme la Professeure Catherine GINESTET, directrice de l’Institut de Droit Privé
 

Prix de vente : 19 €


Partenaires :
Editeur : Presses de l'Université Toulouse Capitole
Références : ISBN : 978-2-36170-309-7 / ISSN : 3003-3144 
Source : Format 16 x 24 cm, 156 pages
Contact :
Mis à jour le 17 juillet 2025