The Old Oak, de Ken Loach

T.J. Ballantyne est le propriétaire du "Old Oak", un pub situé dans une petite bourgade du nord de l’Angleterre. Il y sert quotidiennement les mêmes habitués désœuvrés pour qui l’endroit est devenu le dernier lieu où se retrouver. L’arrivée de réfugiés syriens va créer des tensions dans le village. T.J. va cependant se lier d’amitié avec Yara, une jeune migrante passionnée par la photographie. Ensemble, ils vont tenter de redonner vie à la communauté locale en développant une cantine pour les plus démunis, quelles que soient leurs origines.

Le film sera présenté par Kristine Chick, enseignante d’anglais spécialisée en études filmiques au Département Langues et Cultures.


Quelques échos de la presse :

« Un film dans la droite ligne du cinéaste de 86 ans, infatigable témoin engagé de son époque. » L’Obs
« À 86 ans, le réalisateur garde une colère juvénile. Redonnez-nous des migrantes au grand coeur, des tournées de houblon, du thé et des biscuits, de la solidarité et des tentatives de suicide au pied des falaises. Le cinéma sauvera le genre humain. Choukrane Mister Loach. »  Le Figaro
« Sans effusion ni falbalas, il ne faut pas cinq minutes à Loach pour planter son décor, introduire ses personnages et nouer son intrigue. (…) « The Old Oak » nous rappelle à quoi ressemble un film « bien fait » : un film qui porte cette idée que les plus grands artistes du cinéma sont peut-être d'abord ses meilleurs artisans. »  Les Echos
« Ce beau récit, qui semble puiser sa force dans tout le reste de l’œuvre de Ken Loach, nous prouve une fois de plus – la dernière, vraiment ? – à quel point le vieux chêne est encore vert. »  Télérama
« Un grand film, optimiste sur la nature humaine et les relations interraciales, qui pose la question de l’accueil des migrants en Europe. »  Ouest-France
« Ce film, qui concentre toute l'humanité du monde et apporte des réponses concrètes à une actualité brûlante, de l'autre côté de la Manche comme du nôtre, mériterait bien une troisième Palme d'Or. »  La Croix